(Cet article prend en considération qu'il existe une communauté du making, soit que des individus utilisant ce logiciel ont des interactions entre eux, ce que certains affirment être des mensonges.)
Culture: Ensemble des structures sociales et des manifestations intellectuelles, artistiques, religieuses qui définissent une civilisation, une société par rapport à une autre.
La Culture making est donc l'ensemble, la TOTALITÉ des évènements et des créations dans la communauté du making.
Cette communauté se définit par les divers regroupements d'utilisateurs du logiciel RPGMaker, qui, éloignées les unes des autres ou non forment ensemble une même "société". Cette société se définit par sa culture, car ses évènements et créations passées constitue son présent. Et c'est en prenant conscience de celle-ci qu'elle peut construire son futur. Ainsi est la base du progrès.
La culture a aussi pour rôle de prendre conscience et rendre aussi hommage aux pionniers et d'établir un ordre. La moindre des choses est d'assurer, qu'après le dévoilement d'une création quelconque, que son impact demeure au fil du temps, et que l'oeuvre subsiste aux ravages du temps par ses qualités qui l'inscrit dans la culture, la conscience collective.
Ainsi, pour le making, des oeuvres qui subsistent par la culture making sont par exemple Dark Soul (qui en constitue peut-être l'archétype), Laxius Power 1 (remémoré par ses suites, mais établi comme un des premier jeu véritablement épique du logiciel), Odessa (qui a frappé l'imaginaire de nombreux makers, menant à la création de nombreuses nouvelles oeuvres et amenant de nouveaux venus à l'impact considérable tel qu'Unikfingers) et les Rutipa's Quest (dont le concept va créer une vague dans le making et renforcir le principe de communauté à certains égards).
Le terme "Culture making" fut découvert par Grayback, sur le forum de discussion La Ligue Des Makers Extraordinaires. Son impact fut tel qu'il devint rapidement utilisé à outrance. Intéressés par le phénomène, deux des responsables du forum de discussion, soit Saturnome et Jyuza le Nuage, participèrent à la propagation de la culture pour l'éduquer. sur la LDME parut ainsi la section "Culture making", relatant divers évènements marquants de la communauté. Ainsi parut les archives des cérémonies des Alex d'Or, ainsi que d'autres évènements moins pertinents tel que les passages de certains indésirables sur des forums comme "Stéphanie". D'autres éléments ajoutés à cette liste, tel que le faux-culte humoristique du jeu "Hat Adventure", quelques mots comme "Piez" ou "Ga" vint à l'apparition de détracteurs du travail d'historiens des collaborateurs de cette rubrique, qualifiant ces évènements de "private joke", dû au caractère complexe et humoristique de ces évènements dans un cercle trop restreint d'individus qu'est la communauté du making, en plus de certains doutes sur leur pertinence tant qu'à leur impact sur les individus.
Ailleurs, tel qu'IeN (site web considérable ayant existé en 2004), Saturnome, Littlesmall, Nori et autres participants du site web consacrèrent leur temps à la création d'une banque de jeux aux proportions épiques afin d'assurer la survie de ce qu'ils considéraient une base de la communauté. Ce travail fut reconstitué sur ce site web, Oniromancie, et amélioré par Saturnome et DarkRPG suite à la fermeture d'IeN qui semblait définitive.
Une section "Collec Oniro" fut créé sur ce même site, axé uniquement sur les anciennes créations RPG maker que la culture making a fait vivre au fil des années. Elle subsista bien peu longtemps dû au manque d'efforts. Aurait dû suivre dans cette section Shadows of Sun, Odessa, Laxius Power et AdA.
Par la suite, Oniromancie ramena le principe de la rubrique culture making de la LDME par la section "Le Wiki", détaillant divers faits considérés importants par les membres d'Oniromancie (tel que le raliment de gens pour les graphismes personnalisés) ou d'autres que l'on pourrait encore considéré de vulgaire private jokes par les détracteurs, tel que le "Dimanche Rouge". La différence ici est que tous peuvent contribuer à celle-ci.
L'importance de la culture making est souvent remise en cause dû au fait que nombre de makers l'ignore, ne jouant pas aux oeuvres des autres, et que pourtant la communauté évolue (dans le sens que l'on veut). Certains doutent de l'intérêt à ce que quelque chose soit gardé dans la mémoire collective, et doute de l'intérêt à fouiller le passé. Quoi qu'il en soit, la culture making sera toujours sujet à de nombreux débats très chaud et sera constamment mal réinterprétée par qui le veut bien.
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